Analyses

ALG :Au secours, ILS veulent revenir !

ILS, ce sont les fossoyeurs, les derniers vestiges d’une gestion catastrophique du football national et plus
particulièrement le football professionnel. (a gauche de notre photo Kerbadj mahfoud et à droite wadi Sadi) Ceux qui ont servi leurs intérêts et seulement leurs intérêts durant une quinzaine d’années. Depuis leur renvoi par la grande famille du jeu à onze, en mars 2017, ILS, n’ont eu de cesse, relayés par des médias coalisés, souvent à la solde (aujourd’hui) du résidu des Issabistes, de vouloir déstabiliser la nouvelle équipe dirigeante de la FAF, présidée par Zetchi Kheïreddine. ILS, n’ont jamais voulu admettre sa
réussite à travers son académie, El Ankaoui, et son club, Le Paradou, un fleuron du football africain.

Ainsi, alors qu’ILS étaient aux affaires, ILS, ont tenté par tous les moyens d’enrayer son club et ses idées novatrices, en lui créant des obstacles. ILS, ont noirci son dossier, tout simplement parce que Zetchi Kheïreddine apportait un souffle nouveau et combattait l’injustice et l’autoritarisme. ILS, voyaient en lui un précurseur, un homme du changement. Un changement qui s’annonçait comme salutaire dans tous les secteurs de l’activité nationale. ILS, n’en voulaient pas. Leur objectif était de profiter de la manne financière incontrôlée (hélas !) par les autorités compétentes et par certains commissaires au compte. Des pseudo-bénévoles qui se sucraient à longueur d’années en indemnités, transformant les structures du football en fonds de commerce et agences de tourisme.

A la tête de la FAF, Zetchi Kheïreddine a mis le football au centre des débats et la formation en direction de la jeunesse comme incontournable. Des académies et des centres de formations fleurissent comme ceux de Khemis-Meliana et… de Sidi Bel Abbès (Tiens ! tiens !) inauguré, aujourd’hui, en attendant ceux de Tlemcen et de Tarf ( au cours des prochains moins). Déjà, une qualification à la CAN des U17 et … ce titre de champion d’Afrique dont ILS, cherchent à minimiser sa portée, en  l’attribuant au sélectionneur national pour faire diversion. Toute honte bue, le rejet (provisoire) de la candidature de Zetchi Kheïreddine au Conseil de la FIFA a fait sortir du bois, ces ILS qui cherchent à occuper Dely Brahim avec
des commanditaires de l’étranger.

Ils n’y arriveront pas, quand bien même, ces ILS, sont relayés par les médias coalisés parce que se posera le problème de l’éligibilité. Le temps n’est ni au putsch, ni aux copains, ni aux coquins. Il est au changement imposé par le Président de la République et aux compétences. Le football qui fait sa mue, n’en manque pas.

AB. LAHOUARI

 

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